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25 avril 2016 1 25 /04 /avril /2016 15:09

 

Vinland Saga est un manga de Makoto Yukimura de type historique publié depuis 2005. Le manga est un succès au Japon et fait fréquemment partie des meilleures ventes.

 

De quoi parle Vinland Saga ? Si le titre fait référence à une célèbre saga islandaise, il ne traite pas à proprement parler de celle-ci. En effet, la saga du Vinland traite de la découverte de l'Amérique du Nord et plus particulièrement du Groenland par les Vikings sous le commandement d'Erik le Rouge aux alentours de l'an 1000. Si l'un des personnages de cette saga, Leif Ericson fait bien partie de cette saga et que le nom Thorfinn du héros fait sans doute référence à un autre personnage du récit, les similitudes s'arrêtent là car le manga explore une toute autre histoire, celle de l'invasion de l'Angleterre par les Danois au XIème siècle. Cependant, l'histoire ne commence pas là. En effet, avant d'embarquer pour cette aventure, Thorfinn n'est au départ que le fils d'un fermier islandais jusqu'à ce que le passé de celui-ci le rattrape et qu'il connaisse une fin tragique de la main d'un dénommé Askeladd. Dès lors, Thorfinn se fixe un unique but dans la vie, tuer le meurtrier de son père. C'est ainsi qu'il entre au service d'Askeladd en tant qu'assassin, la récompense de ses services étant la possibilité d'un nouveau combat avec sa némésis, chaque affrontement le donnant perdant. Au cours des expéditions aux côtés d'Askeladd, Thorfinn va faire la connaissance de plusieurs autres personnages le menant jusqu'à cotoyer le futur roi Knut encore inexpérimenté. De là va découler la suite de l'histoire, le destin de Thorfinn étant lié à cette rencontre avec Knut.

 

En somme, pourquoi parler de Vinland Saga ? Eh bien parce que les mangas traitant de l'histoire occidentale ne sont pas fréquents et que celui-ci est fort bien documenté et très entrainant. On peut également parler de l'aspect visuel bien traité et ne cessant de s'améliorer et qui offre un résultat convaincant au niveau de l'ambiance estampillée Viking. Ceci ajouté à une évolution intéressante de l'histoire traitant notamment du repentir comme on peut le voir dans d'autres seinen semblables comme Vagabond par exemple, la manga justifie donc son succès. Beaucoup plaident d'ailleurs en faveur d'une adaptation animée comme pour plusieurs autres oeuvres du même style qui pour l'heure ne sont qu'au format papier. Un anime de qualité fournirait sans doute un résultat convaincant vu le matériau de base et la possibilité d'animer les diverses scènes de combat résultant en des affrontements épiques et des dialogues bien sentis. Bref, un rêve sans doute pour beaucoup, l'avenir nous dira s'il se concrétisera et compte tenu du succès du manga, il se peut fort bien que ça arrive.

 

En conclusion, je ne peux que vous encourager à lire Vinland Saga pour son ambiance rare dans les mangas mais également pour l'aspect historique et épique, cette quête de vengeance qui deviendra une quête de repentir et pour ses personnages mémorables, que ce soit le traitreux Askeladd, le puissant Thorkell ou encore Knut le roi en devenir. De quoi entamer une lecture qui en vaut la peine.

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11 juillet 2015 6 11 /07 /juillet /2015 13:44
Mushishi

Mushishi est un manga écrit et illustré par Yuki Urushibara, prépublié entre 1999 et 2008 dans le magazine Monthly Afternoon. Je vais parler ici essentiellement de l'adaptation en anime du manga.

Synopsis:

 

Mêlant fantastique, écologie et Japon traditionnel, Mushishi est une suite d’histoires ou de contes autour des mushi, une forme de vie primitive, plus élémentaire que toutes les autres formes de vies. Ces histoires narrent les péripéties de Ginko, un spécialiste des mushi, une des rares personnes à pouvoir les voir, et qui a le don d'attirer les mushi, ce qui fait qu'il ne peut pas rester longtemps dans un même endroit et le pousse à être un itinérant.

Chaque épisode relate une enquête sur des affaires plus ou moins étranges liées aux mushi, chaque mushi rencontré causant différents effets qui se manifestent toujours à travers leur rapport à l'humanité, malgré les hommes ou à travers l'utilisation qu'ils en font : ils vont des maladies aux dons extraordinaires, en passant par la fertilisation des terres ou encore la capacité à redonner la vie.

Difficile de dire exactement ce qu'est un mushi compte tenu des diverses formes qu'ils peuvent adopter mais on peut les rapprocher des esprits voire même des yokai sans pour autant qu'ils aient la même nature, c'est une forme de vie discrète et primitive qui a des influences sur d'autres êtres vivants se comportant parfois même en parasites mais qui ne cherchent qu'à survivre. Ginko voyage afin de régler divers problèmes liés à l'apparition de mushis et à leur influence sur le mode de vie des gens. Ainsi, l'anime se découpe en épisodes indépendants les uns des autres, chacun décrivant un mushi particulier. C'est sans doute le fait de ne pas suivre d'histoire continue qui fait que cet anime est digne d'intérêt car il rassemble des histoires un peu comme des contes et ces histoire nous renseignent un peu plus sur ce que sont les mushis mais également la manière dont on peut vivre avec eux, la possibilité d'une cohabitation. L'anime se centre donc beaucoup sur la nature et sur un mode de vie japonais traditionnel. La véritable action se situe dans la recherche et la découverte du mushi à l'origine d'un problème, le reste est bien souvent plus contemplatif et calme. L'animation est d'une très bonne qualité et le fond sonore et musical contribue, avec ses musiques traditionnelles ou calmes, à nous plonger dans cette ambiance reposante et contemplative. Un anime de très bonne qualité que ceux qui recherchent un peu de calme et de belles histoires apprécieront certainement.

Il n'est question ici que de l'anime de 2006, la première saison, je parlerai plus tard de la seconde saison.

L'OST de l'anime

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 18:25
Kaiji

Kaiji est un manga de Nobuyuki Fukumoto, déjà responsable d'Akagi dont j'avais parlé ici. Il a été adapté en un anime comportant 2 saisons de 25 épisodes.

L'histoire la voici:

Japon, 1995. Après avoir fini l'enseignement secondaire, Itō Kaiji déménage à Tōkyō pour trouver un emploi stable mais n'y parvient pas à cause de son caractère atypique et de la première récession que connait le Japon depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Déprimé, il végète dans son appartement, avec un quotidien fait de petits délits, de tabac et d'alcool. Kaiji ne cesse de penser à sa situation financière, ce qui le pousse aux larmes à de nombreuses reprises.

Kaiji vit dans cet état d'esprit pendant deux ans, jusqu'au jour où un inconnu nommé Endō vient lui réclamer une dette astronomique endossée par Kaiji. Celui-ci laisse le choix à Kaiji : soit il travaille dix ans afin de rembourser la dette, soit il embarque à bord du casino flottant Espoir (en français dans le texte) dans l'espoir de toucher un pactole en l'espace d'une seule nuit…

C'est donc un anime qui porte sur des paris mais pas n'importe lesquels car ceux-ci engagent généralement des sommes conséquentes voire bien plus. Tout l'intérêt se trouve justement dans la tension psychologique impliquée par les enjeux, l'action est donc essentiellement psychologique et le personnage principal est souvent dans des situations désespérées.

Parlons-en du personnage principal, Ito Kaiji est un loser total au début de l'anime et il a l'opportunité de refaire sa vie, il accepte donc naïvement une proposition qui est loin d'être innocente et commence à faire les frais des manigances de ses adversaires. Oui, Kaiji n'est pas du tout un génie comme Akagi, c'est un type normal avec des raisonnements assez simples mais ça c'est quand tout va bien car lorsqu'il est dos au mur, Kaiji dévoile une imagination plus débordante pour trouver un moyen de s'en sortir, il passe par le désespoir total avant de se reprendre et se décider à ne pas abandonner, bref, il agit comme un type normal mais dans les situations critiques, il dépasse ce statut. On peut cependant se dire que si Kaiji arrive à gagner ses paris, il doit parvenir à se sortir de sa situation de dette. Eh bien, pas du tout car Kaiji a le profil du type bien naïf et marginal et dans ce monde de brutes, il croit encore à l'amitié et à l'honnêteté et ses échecs ne semblent rien lui apprendre. Ainsi lorsqu'il gagne de l'argent, il le dépense pour tenter de sauver d'autres personnes, Kaiji aurait pu être riche à plusieurs reprises mais il est trop généreux pour l'être. On éprouve pour lui de la pitié et de la sympathie et on en vient à souhaiter sa victoire à tout prix. L'anime offre son lot de pourris et de yakuzas en tous genres mais malgré tout on observe des qualités chez certains et on en vient à en éprouver du respect pour l'adversaire qui a perdu si pourri soit-il quand on découvre qu'il est finalement juste un humain également.


Si les affrontements ne sont que des jeux, ils n'en sont pas moins terriblement intenses à cause des enjeux énormes qu'ils impliquent et les situations hors-jeu ne sont pas en reste non plus puisqu'il s'agit de réfléchir à la suite des événements et que les trahisons dans ce monde sont nombreuses. L'anime présente réellement un monde réaliste avec ses tordus, ses losers et ses pourris. Seul point à arriver à dépasser pour parvenir à ce qui fait vraiment la force de cet anime, à savoir sont histoire, c'est le design des personnages. Eh oui, comme dans Akagi, on a droit à des têtes très géométriques auxquelles il faut s'habituer même si elle convienne parfaitement à l'univers, il faut arriver à entrer dans celui-ci et donc persévérer au-delà de l'apparence pour arriver à la véritable richesse de l'anime.

En conclusion, je dirais que c'est un excellent anime où la tension ne baisse pratiquement jamais et où on se prend de sympathie pour le héros. On suit tous ces jeux avec assiduité d'autant que contrairement au mah-jong d'Akagi, les règles se comprennent très rapidement car elles sont expliquées d'une manière simple et le sont elles-mêmes. À regarder pour tous ceux qui aiment les plans imprévisibles, la suspense et l'aspect psychologique des affrontements qui impliquent les réactions, les peurs et les sentiments des humains.

Opening de la première saison:

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 19:48
Monster

Il est question cette semaine de Monster et plus particulièrement de l'adaptation animée diffusée entre 2004 et 2005. L'histoire tourne principalement autour d'un médecin injustement accusé d'avoir commis plusieurs meurtres et qui va partir à la recherche du vrai coupable pour certaines raisons.

L'animation est de bonne qualité tout au long de l'anime de 74 épisodes mais au niveau du scénario, il ne faut pas attendre un chef d’œuvre. En effet, la plupart des actions sont assez prévisibles et on voit plutôt bien ce qui va se produire dans l'épisode quand celui-ci commence. Si l'intrigue s'avère linéaire, on ne peut reprocher à l'anime de nous balader à travers l'Allemagne et la Tchéquie des années 90. Comme on suit principalement un héros en fuite, on voyage forcément avec lui, ce qui permet d'avoir des décors variés de Düsseldorf à Prague en passant par Francfort.

Dans l'ensemble, le fait de passer par les différentes villes et l'atmosphère plutôt calme de l'anime fait voyager et c'est là son principal point fort. Le scénario semble avoir été écrit uniquement comme prétexte au voyage car au final on en apprend peu sur le fond de l'histoire mais les personnages sont mis en scène à de nombreuses reprises. D'ailleurs, du côté des personnages, il ne faut pas non plus s'attendre à une véritable profondeur tant la plupart d'entre eux sont simplistes voire caricaturaux. Enfin, un anime qui intéressera ceux qui aiment le voyage, les autres peuvent sans doute passer leur chemin surtout s'ils attendent de la profondeur.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 13:54
Akagi

Akagi est un manga écrit et dessiné par Nobuyuki Fukumoto commencé en 1992, il est encore inachevé à ce jour. L'intrigue tourne principalement autour du Mah-jong, un jeu de société chinois se jouant à quatre. Le manga a été adapté en un anime de 26 épisodes et c'est de ce dernier dont nous parlerons principalement.

Bien entendu, de nombreuses personnes seront rebutées à l'idée de s'intéresser à une histoire tournant autour d'un jeu asiatique peu connu dans nos contrées mais c'est là le tour de force de cet anime car il parvient à nous immerger dans le jeu bien qu'on ne comprenne pas clairement les règles. Celles-ci sont expliquées de manière assez brève et la plupart du temps, on essaie de deviner comme tout ça fonctionne. Le Mah-jong est assez proche du poker dans son fonctionnement global et les familiarités qu'on peut trouver permettent de s'y retrouver un peu dans ce méli-mélo. Cependant, si le Mah-jong est au centre de cet anime, il sert surtout à exploiter et à développer la personnalité des différents protagonistes.

Akagi Shigeru, le héros de l'histoire, a 13 ans au premier épisode et il se retrouve par hasard à jouer au Mah-jong face à des professionnels. Son mode de pensée et sa façon d'aborder le jeu le démarque clairement des autres joueurs et c'est sa psychologie qui est mise en avant au travers du jeu. Même si on ne comprend pas tout, on constate les retournements et la tension ne tarde pas à monter. Ainsi, un épisode entier peut se dérouler avec seulement quelques coups de joués, voire aucun et pourtant on reste scotché devant. Le suspense est un élément central dans cet anime et il est entretenu par l'atmosphère à laquelle contribuent des musiques parfaitement adaptées.

Un autre point peut rebuter dans cet anime: Le chara-design des personnages est pour le moins particulier. En effet, il n'est pas rare de voir des personnages avec des têtes rectangulaires, triangulaires ou des défauts physiques marqués. À force de côtoyer les personnages, on s'y habitue et on s'intéresse davantage à l'histoire et à la psychologie des protagonistes. Il ne faut donc pas se laisser rebuter par l'apparence de cet anime car son contenu vaut la peine d'être vu.

Au final, 26 épisodes qui passent vite, même très vite, la seconde moitié de l'anime se concentre sur un unique affrontement et c'est là qu'on peut être déçu car celui-ci ne trouve pas de fin. En effet, l'anime adapte le manga et la partie qui se joue n'est toujours pas finie dans le manga lui-même, elle dure même depuis 15 ans ce qui en fait sans doute l'affrontement le plus long dans un manga. Cela explique qu'on ne trouve pas de véritable fin dans l'anime et que celui-ci se termine sur un climax, un nouveau grand moment de tension. Que cela ne vous empêche pas de vous y intéresser car le contenu de l'anime est déjà très riche en soi.

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 18:07

Après nous être attardés sur l'histoire et ce qui s'est construit autour, voyons maintenant comment les différents dérivés de ce phénomène.

 

Dragon Ball Multiverse

 

 

http://www.dragonball-multiverse.com/design/splash.jpg

 

Dragon Ball Multiverse se veut être une suite à l'histoire de Dragon Ball Z en considérant l'hypothèse de mondes parallèles pouvant interagir entre eux. Un tournoi est organisé entre les combattants des différents univers avec à la clé la possibilité d'utiliser des Dragon Balls. L'histoire principale tourne donc autour du tournoi avec des affrontements de différentes natures avec des personnages issus de l'univers de Toriyama. Plusieurs chapitres spéciaux viennent préciser l'histoire de certains univers de manière à étoffer l'intrigue.

 

Si l'histoire semble bien commencer, elle s'enlise malheureusement au fur et à mesure. Le tournoi montrant des combats se résumant parfois à une unique page ou des abandons en masse. Hélas, les chapitres spéciaux n'arrangent pas vraiment l'affaire, beaucoup d'entre eux se résumant à une suite insipide de combats mal mis en scène. En conclusion, bien que servie par des dessinateurs souvent talentueux, l'histoire ne parvient pas vraiment à décoller. On attend donc toujours quelques sursauts scénaristiques.

 

 

Dragon Ball Z Abridged

 

http://fc08.deviantart.net/fs71/i/2011/103/0/d/dragon_ball_z_abridged_logo_by_mantissama-d3dy5wv.pngIl s'agit d'une parodie de l'histoire de Dragon Ball Z. Les passages de l'animé sont repris avec des dialogues parodiques et quelques modifications, plusieurs épisodes se retrouvant condensés en quelques minutes. La série étant réalisées par des Américains, les épisodes sont donc en anglais, il existe cependant des sous-titres pour une partie d'entre eux.

 

L'humour n'est pas idiot comme dans beaucoup de parodies ridicules circulant sur internet et la série fait preuve d'un véritable professionnalisme avec des doublages de qualité et des gags bien pensés. Un concept à voir en conséquence.

 

Dragon Ball Z Kai

 

http://blog.gameone.net/wp-content/blogs.dir/10/files/2011/05/dbz-kai-marquee-mai-11-blog.jpg

 

Ce n'est ni plus ni moins que la réédition officielle de la série Dragon Ball Z, amputée de la partie Boo, en haute définition et avec un nouveau doublage. Il existe deux versions, une censurée et une autre ne l'étant pas. Concernant la version française, l'équipe de doublage qui s'était occupé de la série initiale a été rappelée. Certains étant décédés, ils durent être remplacés. Dans l'ensemble, les voix sont assez fidèles au doublage original et l'intrigue se veut plus courte et plus fidèle au manga car épurée de tous les fillers qui la peuplaient.

 

La série nous permet de retrouver tout l'univers de Dragon Ball Z de manière plus claire, le nombre d'épisodes ayant été divisé par deux. Les nouveaux doublages fonctionnent plutôt bien en général même si parfois on regrette vraiment la première version. En effet, malgré leur bonne volonté, certains nouveaux ne pourront jamais remplacer les anciens. Il n'en demeure pas moins que la version française est de très bonne facture. Cependant, la disparition d'ajouts de la série animée de départ ampute un peu l'atmosphère en expédiant parfois un peu l'intrigue. Difficile de se répérer quand on est plus habitué à la version très longue qu'était la série d'origine. Il n'en demeure pas moins qu'il s'agit d'une excellente adaptation.

 

Divers

 

On pourrait parler des jeux vidéo ou encore de tous les autre produits dérivés mais ce n'aurait pas un très grand intérêt. Il existe un nombre incalculable de dérivés existant de cette série. Le phénomène a été utilisé de toutes les manières possibiles, il servait même de publicité au Japon pour des produits divers et variés. Tout cet univers ne peut se décrire sur quelques pages ainsi, aussi s'il vous est inconnu, il est plus que conseillé de le découvrir de toute urgence. C'est effectivement la marque de toute une génération, ceux qui ont découvert la série quand elle passait dans les années 90.

 

Quelques liens:

-Dragon Ball Z Abridged

-Dragon Ball Multiverse

-Dragon Ball Z Kai générique

-Publicités

 


 


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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 11:44

http://images.mylot.com/userImages/images/postphotos/2069049.jpg

 

On commence tout de suite par déterrer une référence absolue. Marque d'une voire de plusieurs générations, ce manga s'est décliné de toutes sortes de manières possibles. C'est surtout grâce à la télévision qu'il s'est fait une réputation dans nos contrées. En effet, plusieurs séries animées en sont dérivées:

 

Dragon Ballhttp://www.theepochtimes.com/n2/images/stories/large/2009/10/26/son-goku-as-a-child.jpg

 

Le point de départ, histoire dite et redite à découvrir si on ne connait pas. L'intérêt majeur, ici, réside dans l'atmosphère présente au cours de l'aventure car c'est bien plus d'aventure qu'il s'agit que de combat dans cette première partie.

 

La série a connu une traduction française qui mérite d'être soulignée. Elle était en général de bonne qualité mais la différence de culture entre le Japon et l'Europe a fait que certains détails ont basculé dans l'étrange. La série devant s'adresser à des enfants quand elle fut diffusée, le doublage fut adouci ce qui donna parfois lieu à certaines bizarreries n'ayant rien à voir avec la version originale. Une autre particularité est le nom des attaques qui s'il était parfois bien restitué donnait à se poser des questions sur les traducteurs de l'époque.

 

Quelques liens :

-Doublage

-Générique vf

 

Dragon Ball Z


http://38.img.v4.skyrock.net/380/superdbzgt95/pics/618474501_small.jpg

 

Il s'agit ni plus ni moins que de la suite de la série précédente. Plus connue pour la violence de ses combats représentant pratiquement l'essentiel de l'histoire, c'est ce qui lui valut de nombreuses critiques venant de parents ou de censeurs.

 

La série s'organise autour de méchants principaux qu'il faut affronter car ils représentent une menace pour la paix. En premier lieu, les Saiyans renommés guerriers de l'espace en version française. Ils débarquent sur terre un an après la mort de l'un d'entre eux là-bas pour s'emparer des Dragon Ball afin de gagner l'immortalité. Le combat face aux héros s'avère tragique car nombre d'entre eux périssent.  L'un des Saiyans, Vegeta, parvient à s'enfuir alors que les survivants pansent leurs blessures.

 

Vient ensuite Freezer, méchant emblématique dont le combat avec Son Goku sur la planète Namek s'avère l'un des plus intenses jamais vu. Dans la série, le combat dure pendant 18 épisodes.

 

Cell, un cyborg fortement organique constitue l'adversaire suivant. Ses pouvoirs augmentent lorsqu'il absorbe ceux d'autres individus. Devenu tellement puissant et sûr de lui, il organise un tournoi qui lui permettra de tester l'étendue de sa puissance.

 

Le dernier grand méchant est Boo, combattant pour le moins étrange, changeant de multiples fois de formes et de caractère, il est sans doute le plus dangereux de tous les adversaires. Semblant indestructible et toujours plus dangereux, il devient une menace pour l'univers entier.

 

La série met l'accent sur les combats intenses qui résultent de la rencontre des héros avec ces méchants.Les combats et les niveaux de puissance semblant nepas avoir de limite.

 

Comme pour la première série, le doublage, s'il est de bonne qualité, comporte des erreurs et des bizzareries faisant parfois rire et conduisant d'autres fois à l'incompréhension totale.

 

Quelques liens:

-Grand bêtisier

-Doublage étrange

-Générique vf

-Générique vo

 

Dragon Ball GT

 

 

http://www.dragon-ball-z.org/images/dragon-ball-gt.jpg

 

Souvent considérée par les puristes comme une oeuvre déviante et n'ayant plus trait à l'univers de Dragon Ball, cette série ne dérive pas du manga s'achevant avec l'histoire de Dragon Ball Z. L'histoire fait retomber Son Goku en enfance et reprend un canevas similaire à celui de Dragon Ball, surtout de l'aventure, enfin dans un premier temps. La seconde partie de l'animé contient des combats s'inspirant de ceux de Dragon Ball Z. Il est cependant regrettable que Son Goku soit pratiquement devenu l'unique combattant, les autres faisant figure...de figurants. La série se finit d'ailleurs un peu en queue de poisson laissant fort perplexes les spectateurs.

 

Bref, s'il y a quelque chose qui peut être sauvé dans Dragon Ball GT, c'est son générique et un peu le début de l'animé rappelant Dragon Ball. Le reste demeure trop bancal que pour vraiment marquer les esprits.

 

Quelques liens:

-Générique

-100 ans après

 

Liens divers:

-Musée

-Expert Vegeta


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